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Dessins et plans | Chaînes alimentaires (écologie) | Chaînes alimentaires | Animaux marins | Oiseaux | Biologie | Animaux | Photographie | Réseaux trophiques | Eaux côtières | Écologie | Évaluation écologique (biologie) | Interactions multitrophiques (écologie) | Prédateurs et proies | Production primaire (biologie) | Communication du risque | Risques pour la santé -- Communication | Risques pour la santé | Sécurité du travail | Technologie -- Évaluation du risque | ...
Les moustiques dans la chaîne alimentaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/52991221-les-moustiques-dans-la-chaine-alimentaire

Les moustiques dans la chaîne alimentaire

Schéma de la place des moustiques dans la chaîne alimentaire.

Bioconcentration de mercure en chaîne alimentaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f9b580-bioconcentration-de-mercure-en-chaine-alimentaire

Bioconcentration de mercure en chaîne alimentaire

Ce schéma présente (de manière très simplifiée) la cinétique environnementale du mercure émis par quelques sources communes de ce métal, et sa ''bioconversion'' en méthylmercure toxique. Il traduit aussi les grandes lignes des recommandations de l'EPA pour certains types de poissons qui bioaccumulent le plus le mercure. Le mercure émis par les centrales électriques au charbon et d'autres sources se déplace via l'atmosphère vers l'eau ; une partie se transforme (dans les sédiments surtout) en méthylmercure (plus toxique et qui entre facilement dans la chaîne alimentaire où il se concentre à chaque étape de cette chaîne ou pyramide). Ceci explique que les grands prédateurs comme les cachalots, orques, requins, espadons, thons ou les vieux brochets, ou des charognards comme le flétan contiennent les taux de mercure les plus élevés. Le mercure est particulièrement problématique pour le développement ; c'est pourquoi les limites ici présentées ont été conçues pour protéger les femmes qui pourraient devenir enceintes et les enfants de 12 ans ou moins. Les cétacés, des dauphins, bélugas et marsouins aux cachalots en passant par les orques peuvent bioconcentrer de grandes quantité de mercure méthylé, mais hors quelques exceptions (Japon, norvège...), ils ne sont habituellement pas consommés. Sources de mercure : volcans, geysers, industrie, incinérations, crématoriums, mines, décharges, munitions anciennes.

Chaîne alimentaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f9b306-chaine-alimentaire

Chaîne alimentaire

Chaînes alimentaires en mer et sur terre : circulation de l'énergie. En écologie, une biocénose est l'ensemble des êtres vivants coexistant dans un espace défini (le biotope). On a l'habitude de diviser la biocénose en deux : la phytocénose, qui regroupe les espèces végétales ; la zoocénose, qui regroupe les espèces animales.

Chaîne alimentaire entre mer, terre et air. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f9aefc-chaine-alimentaire-entre-mer-terre-et-air

Chaîne alimentaire entre mer, terre et air

Chaîne alimentaire animale entre mer, terre et air. Source : http://www.fcps.edu (ecology on islandcreeks, CK-12 project)

Le réseau trophique dans la chaîne alimentaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b7e29b-le-reseau-trophique-dans-la-chaine-alimentaire

Le réseau trophique dans la chaîne alimentaire

Principes des flux et "pertes" d'énergie dans le réseau trophique (chaîne alimentaire). En écologie, le niveau trophique est le rang qu'occupe un être vivant dans un réseau trophique. Il se mesure en quelque sorte par la distance qui sépare cet être du niveau basique qui est celui de la production primaire autotrophe. Au dessus de ce niveau de base, chaque maillon (ou étage) d'une chaîne alimentaire correspond à un niveau trophique. C'est un concept théorique de l'Écologie qui permet de mieux cerner ou expliquer certaines relations entre espèces (relations prédateur-proie notamment), les cycles et flux d'énergie et de nutriments dans les écosystèmes, les réseaux trophiques ainsi que les phénomènes de bioconcentration dans la pyramide alimentaire, qui ont une grande importance en écotoxicologie.

Pyramide des étages trophiques. Source : http://data.abuledu.org/URI/529a51a7-pyramide-des-etages-trophiques

Pyramide des étages trophiques

Schéma vierge de la pramide des étages trophiques (vectorisation Cyrille Largillier, novembre 2013). En écologie, le niveau trophique est le rang qu'occupe un être vivant dans un réseau trophique. Il se mesure en quelque sorte par la distance qui sépare cet être du niveau basique qui est celui de la production primaire autotrophe. Au-dessus de ce niveau de base, chaque maillon (ou étage) d'une chaîne alimentaire correspond à un niveau trophique.

Réseau trophique en eaux côtières. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f9d814-reseau-trophique-en-eaux-cotieres

Réseau trophique en eaux côtières

Réseau trophique en eaux côtières. Un réseau trophique (ou chaîne tropho-dynamique) se définit comme un ensemble de chaînes alimentaires reliées entre elles au sein d'un écosystème et par lesquelles l'énergie et la matière circulent (échanges d'éléments tel que le flux de carbone et d'azote entre les différents niveaux de la chaîne alimentaire, échange de carbone entre les végétaux autotrophes et les hétérotrophes). Le terme trophique se rapporte à tout ce qui est relatif à la nutrition d'un tissu vivant ou d'un organe. Par exemple, une relation trophique est le lien qui unit le prédateur et sa proie dans un écosystème. Dans un écosystème, la structure des réseaux trophiques (les types et réseaux de relations alimentaires entre organismes) influence fortement la quantité, la diversité, la stabilité et la qualité de la biomasse et de la matière organique résiduelle (excrétions, nécromasse) produites par les écosystèmes. La qualité d'un réseau trophique et de ses interactions a un lien direct avec la stabilité et résilience des populations qui en font partie.

Traçabilité des produits toxiques utilisés par les pompiers. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c25962-tracabilite-des-produits-toxiques-utilises-par-les-pompiers

Traçabilité des produits toxiques utilisés par les pompiers

Page 18 du livret des pompiers utilisé en 2005 dans le Service de lutte contre l'incendie en zone rurale des "New South Wales" (HAZCHEM). L'un des gages de bonne traçabilité et de bonne gestion des risques dans le cas de produits toxiques ou dangereux est un inventaire précis et bien mis à jour. La traçabilité désigne la situation où l'on dispose de l'information nécessaire et suffisante pour connaitre (éventuellement de façon rétrospective) la composition d'un matériau ou d'un produit tout au long de sa chaîne de production et de distribution. Et ce, en quelque endroit que ce soit, et depuis l'origine première du produit jusqu'à sa fin de vie, soit comme le dit l'adage :« du berceau jusqu'à la tombe » pour les produits industriels, ou « de la fourche à la fourchette » pour un produit alimentaire. Les règles et bonnes pratiques en matière de traçabilité sont déterminées par des normes et/ou des organismes de Contrôle nationaux ou internationaux.